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Selon une étude étasunienne, des traitements courants pourraient retarder la survenue de la maladie de Parkinson…
L’analyse a porté sur 1 201 patients atteints de Parkinson. Ceux qui utilisaient des anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme l’aspirine ou l’ibuprofène, ont vu les premiers symptômes apparaître en moyenne 8,6 ans plus tard. Les personnes sous statines, pour réduire le cholestérol, ont vu ce délai s’allonger de 9,3 ans, tandis que les patients prenant des bêtabloquants pour l’hypertension ont présenté des symptômes 9,6 ans plus tard.
La maladie de Parkinson, caractérisée par des tremblements, des troubles de l’équilibre et un ralentissement moteur, reste d’origine inconnue. Cependant, l’inflammation cérébrale et le stress cellulaire pourraient jouer un rôle dans son développement.
Selon les chercheurs, ces médicaments ont des effets communs, notamment la régulation de l’inflammation, qui pourraient expliquer leur impact sur le retard des symptômes.
Ces observations pourraient ouvrir la voie à de nouvelles approches préventives, mais nécessitent un suivi à long terme pour en valider l’efficacité.
source: belga
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