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On a évoqué au début de la pandémie de SRAS-CoV-2 la possibilité d’une transmission de l’homme à l’animal de ce virus. Les craintes se sont estompées, mais des chercheurs anglais ont fait une découverte…
Coïncidence ou pas, des vétérinaires britanniques ont trouvé le variant dit « anglais » ou alpha ou encore B.1.1.7 chez des animaux de compagnie qui se sont révélés positifs après un test PCR et ont même développé des anticorps anti-SRAS-CoV-2 après avoir souffert de pathologie cardiaque : myocardite, péricardite. Pour les chercheurs, c’est la preuve que les animaux peuvent être infectés par ce virus et tomber réellement malades.
Ils suggèrent que d’autres études soient menées notamment concernant les autres variants potentiellement plus dangereux. C’est d’autant plus important à réaliser que d’éventuels vecteurs, les animaux de compagnie constituent un réservoir du virus en l’absence de vaccination pour eux…